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Critiques constructives des dérives du capitalisme actuel et de son impact sur la nature (nature dans laquelle l'homme est inclus et non au centre). La vision instrumentale/mécaniste de la science depuis les lumières est abordée, vision qui nous fait progressivement dériver vers un système rationaliste fermé sur lui même, dont la pensée se désagrège sans même que les gens ne s'en aperçoivent. Le merveilleux et le fantastique ont laissé place à une vision froide : les rouages de la nature sont devenus les rouages d'une machine, de machines dont on pense même naïvement qu'elles peuvent remplacer la pensée humaine en optimisant de manière "objective" les choses, un peu comme dans un "sim city" piloté par un ordinateur. Les auteurs font un diagnostic de cette situation inquiétante, et tentent d'imaginer un monde différent, à la fois plus humain et plus respectueux de la nature. L'industrie, les technocraties sont clairement pointées du doigt dans leur volonté de soumettre à la fois la nature mais aussi les hommes, laissant globalement de moins en moins de liberté aux individus, dans un monde rendu artificiel en vue d'une optimisation capitaliste sans limites.



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